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Les centres de recherche
Centre de physiologie intégrative et de médecine moléculaire (CIPMM)
Le Centre de physiologie intégrative et de médecine moléculaire étudie l'intégration entre les processus membranaires dynamiques du système nerveux et les fonctions des systèmes immunitaire et neuroendocrinien. Pour ce faire, ses équipes tablent sur une approche globale et interdisciplinaire.
Sur une surface de plus de 4000 mètres carrés, pas moins de onze groupes de recherche se penchent depuis 2015 sur le fonctionnement et le dysfonctionnement des processus de signalisation qui assurent les interactions entre les systèmes nerveux, immunitaire et neuroendocrinien.
Unique en son genre, ce concept de physiologie intégrative est rendu possible par des plateformes ultramodernes, des locaux pour les groupes de jeunes chercheurs et des espaces propices aux échanges interdisciplinaires.
Centre de signalisation moléculaire (PZMS) (en cours de construction)
Les équipes du Centre de signalisation moléculaire se consacrent aux perturbations de la signalisation moléculaire qui, par exemple, affectent le début de la puberté, entraînent des troubles cardiaques ou provoquent des problèmes de formation osseuse. Ces travaux de recherche ont pour but de développer de nouvelles approches thérapeutiques et formes de traitement.
Le nouveau bâtiment, qui devrait être inauguré dans le courant de l'année 2023 sur le campus de Hombourg, abrite des laboratoires ultramodernes pour le domaine des sciences de la vie et de la matière, le tout sur une surface utile de 4740 mètres carrés et une surface technique de 2019 mètres carrés. Ce nouveau centre vient compléter le Centre de physiologie intégrative et de médecine moléculaire (CIPMM).
Les coûts de construction de 50 millions d'euros sont couverts à hauteur de 22 millions par l'État allemand en vertu de l'art. 91b de la Loi fondamentale allemande.
Centre de biophysique (en cours de construction)
Sur une surface de 4300 mètres carrés, le bâtiment du Centre de biophysique, dont l'achèvement est prévu pour la fin de l'année 2023, accueillera prochainement sur le campus de Sarrebruck plus de 200 scientifiques issus de neuf groupes de recherche.
Ce bâtiment ultramoderne contribuera largement au développement du pôle "NanoBioMed", tant au niveau de la recherche que de l'enseignement. Il permettra en outre de renforcer la collaboration interdisciplinaire entre les groupes de recherche en médecine, biologie et physique.
Avoisinant les 38 millions d'euros, le coût de la construction est pris en charge pour moitié par l'État allemand conformément à l'art. 91b de la Loi fondamentale allemande. La seconde moitié est financée par le Land de Sarre.